Vous ne voulez plus souffrir

Dire … partager sa souffrance … se sentir écouté(e)

La souffrance est inhérente au fait de vivre ; toute personne, quelque soit son âge, peut toutefois connaître un état de souffrance excessive et invalidante. Nous parlons alors de douleur psychique, dont la véritable racine est une tension intérieure. Les symptômes, plus ou moins graves, résultent d’une tentative de résoudre cette tension. Mais c’est toujours un échec, à plus ou moins long terme.

Cette douleur peut s’exprimer dans la pensée : sentiment d’être nul(le), impression d’échec (professionnel, scolaire, amoureux …) – profonde tristesse … pleurs fréquents – agressivité – troubles du sommeil, troubles alimentaires – phobies, idées obsédantes – troubles de la sexualité – peur de devenir folle / fou – perte du plaisir de vivre …

Cette douleur peut aussi s’exprimer par le corps et est malheureusement capable de le rendre malade – et parfois de le détruire.

Une “cassure” psychique peut aussi favoriser une profonde douleur ; c’est la psychose (sentiments de persécution, schizophrénie etc.).

Il est important de consulter lorsque la douleur psychique persiste, que l’on n’a pas réussi à la vaincre seul(e), qu’elle nous empêche de nous sentir aimable, d’aimer … d’étudier … de vivre “normalement”.

Le psychanalyste travaille, lorsque cela s’avère nécessaire, en partenariat avec un médecin Psychiatre ou tout(e) professionnel(le) de la santé et/ou du soin.

“Si dès la première séance j’éprouve la conviction d’être écouté(e), et que je me sens déjà soulagé(e), alors j’ai bien choisi mon psy”.

Spleen – Jürgen ROTELLA – Huile sur toile